Je suis perdu je veux plus hair

Bonjour j'ai la trentaine un enfant depuis peut et tous refais surface. Sachant je n'ai jamais oublier mais l accouchement ma refai vivre tous. On ma diagnostiquer avant que javai le syndrome stress post traumatique à cause de mon passé.
Donc depuis toute petite mon père était violent à la maison une mère qui etai pas trop présent mai avec les difficulté normal. Après pas des extérieur familiale je me suis abuser sexuellement pendant de mais 10 ans à mais 15 ans. Et après violer pendant 2 ans et tous par plusieur personne. Le problème je me sens mal de tout de côté familiale jusqu au reste. J'en veux énormément aux gens qui mon fait du mal sachant que à l'école jetai harceler et que les maître et prof ne fesai rien et mes frère et soeur aussi etai harceler. Mais je hais encore plus les gens qui savait et non jamais rien fais ou qui en profiter pour m humilier de pa situation familiale. De ma façon d'être habille et autre oui jetai parfois méchante ou "délinquante" mais si jetai comme sa ses qui avait des raison pourquoi ils son rien fais pourquoi ils son cataloguer juger mais aider. J'en n'ai marre dhair mais ses dur sa me bouffe la vie. Je suis agressif oralement avec les gens beaucoup envers les hommes. J'ai des cicatrice et je me sens pas libre je les vois alors que maintenant ils son minime. Aider moi à plus hair et être violent oralement svp merci serli

bonjour . Bravo de venir vous exprimer , cela est déjà un grand pas, fait avec courage !, après avoir vécu l'innommable . Vous devez vous prendre en main . Je vous sent au pied du mur . donc je pense qu'il est très urgent de consulter .En premier , allez voir votre médecin traitant et parlez lui de votre vécu , demandez lui de vous diriger rapidement vers un psychologue ou autre thérapeute . De votre coté , contactez dune association de victimes . choisissez là bien . n'hésitez pas à parler, parler, parler. mais avec de personnes qui vous écoute vraiment. Courage

Bonjour merci de votre réponse. Je suis déjà aler voir des pshy mai ji arrive pas a parler avec eux. Par contre des association j'ai jamais fais et je sai pas où en trouver sa serai pe être bien car oui j'ai besoin dans parler sa ses sur. Comment je peut trouver des association vous en connaisser des bien et sérieux. Car les pshy j'ai déjà fai 2 et sa colle pas. J'ai l'impression que les psy m'écoute pas et j'arrive pa as à leur parler du tout il faudrai des gens avec conversation. Pouver vous me renseigner pour les association et es ce que vous connaisser des gens qui hais le monde a cause de sa. Comment ils son fai merci

Je vous répond en message privé.

Bonjour Serli, cigale a peut être trouvé une solution pour vous, par message privé. Je découvre votre message aujourd'hui, et je peux aussi vous conseiller de vous rendre au tribunal de grande instance, 67 rue servient, au deuxième étage où il y a le bureau d'aide aux victimes d'agressions sexuelles. Vous pouvez vous y rendre sans rendez vous de 13h30 à 16h30 les jours de semaine , et serez reçue par deux personnes : une juriste et une bénévole toutes deux appartenant à une association de victimes. Vous serez écoutée, renseignée, guidée...bref, vous vous sentirez moins seule. J'y suis allée il y a 15 jours, et me sentir accompagnée me porte dans ma reconstruction. Vous avez raison, haïr ne vous aidera pas à vous en sortir. Chaleureusement. Nadia

Bonjour nad, mais je veux pas porter plainte cela serai trop compliquer et jai peur. Mais si ses pas pour porter plainte je peux aussi aller voir pour m'aider. Merci

Vous ne serez obligée de rien, juste écoutée, et cela soulage.... Personne ne vous forcera à faire quelque chose chose pour laquelle vous n’êtes pas prête. Courage!

Ha ok je vais aller voir alors et voir si sa se fai vers chez moi merc

Bonjour Serli.

Bravo pour votre force de parler ici.
Je sens dans vos écrits beaucoup de souffrance, ce que vous avez vécu est profondément injuste et dégueulasse, et je comprends très bien la colère qui vous habite.
C'est super que vous soyez dans une démarche de trouver des personnes auprès desquelles vous pourrez racontez votre histoire et sortir vos émotions, et notamment vous vider de cette colère. Ainsi vous arriverez à vous débarrassez de la haine qui vous empoisonne.
De mon côté après un long travail avec une psychologue j'arrive à dire ma colère aux personnes concernées. Mais je ne leur dis pas en face, je le dis dans le cabinet de la psy. Ca me fait du bien et je ne fais de mal à personne. Ca soulage.

Trouver un psy avec qui le feeling passe bien n'est pas forcément facile. Et il y a différents types de psy:
- psychiatre : je n'aime pas trop
- psychanalyste: je n'aime pas trop
- psychologue : je préfère.

Mais après c'est comme tout, il y a des bons et des mauvais psy. Et même avec un bon psy il faut que le feeling passe. Peut-être que si vous avez trouvé une association, cette association a pu vous mettre en relation avec un psy ?

Encore une fois bravo pour votre démarche, après ce vous avez vécu d'atroce, parler et chercher à guérir du passé demande beaucoup de courage.

Jean-Luc

Bonjour Jean Luc
Merci de votre réponse. Après pour l'instant vers la ou j'habite je ne trouve pas d'association dommage après psychiatre et psychologue y en n'a pas bcp vers chez moi et une pshycatre que j'ai vu nes pas passer mai je cherche encore mai la ou j'habite ses cho les hôpitaux et psy ect son à plus de 30 min donc dur pour y aller mai je voudrai trouvé une assoc mai je cherche mai je sais pas trop comment chercher mai bon je vai bien trouver un jour merci bon continuation
Serli

Alors cela peut passer via des mails à une asso pas trop loin de chez vous. Et par quelques rencontres en chair et en os de temps en temps ?

Ouai mai j'arrive pas en trouver et je sai pas comment chercher sur Internet je les victime de vous sa vai quoi mai rien

et en demandant à votre médecin généraliste de vous aider à chercher ... ?

Ouai he la je vous connai pas ses facile mai mon médecin ouha je sai pas si je vai avoir le courage face à lui je penser la mairie eu doive savoir mai pareil le courage me manque ses dur vous savez fais coment vous

Oui c'est dur d'oser parler. Tous les témoignages que tu peux lire le disent. Ce n'est pas grave si cela te demande du temps. Sois patiente et indulgente avec toi, le moment venu tu trouveras la force de parler en vis à vis avec des gens que tu connais. Et peut-être que ce jour-là tu seras surprise : il se peut que la personne en face t'écoute et compatisse, qu'elle te comprenne. Mais peut-être aussi que ce jour-là la personne en face ne saura pas t'écouter ni te comprendre, ni compatir. Alors dans ce cas dis-toi que le problème ce ne sera pas toi qui parles mais la personne en face qui ne sait pas écouter

Et pour répondre à ta question "comment j'ai fait ?"
Les souvenirs me sont remontés à la mémoire un dimanche matin. Toute la journée du dimanche j'ai hésité à aller parler à un cousin. J'avais envie, mais je me trouvais nul, ridicule, idiot... Et le soir arrivé je me suis couché sans lui avoir parlé.
Le lendemain matin, lundi, je ne pouvais pas manger, je ne pouvais plus respirer. J'avais comme une envie de vomir. Pas de vomir physiquement mais de vomir des mots. Au bout d'une ou 2 heure dans cet état, j'ai appelé ma belle-soeur à son boulot. Et là elle a été formidable, en quelques mots encourageants et bienveillants, elle m'a permis d'enfin commencer à parler.

Donc ce n'est pas le courage qui m'a permis de parler, mais c'est mon corps qui m'a obligé, et c'est ma belle soeur qui a su m'accompagner dans ce processus

Ouha ses beau et ses hyper vrai se que vous dite. Merci beaucoup et ouai ses vrai ses pas nous le problème ses bien dis merci

Bonjour Serli, je sens que vous êtes tout prêt de faire le pas.
Même si cela vous semble compliqué, je ne peux que vous encourager à parler, pour vous et aussi, presque surtout, pour votre enfant. Les enfants sentent tout, et il n'est pas bon pour eux de grandir avec un tel secret. Il est surement trop tôt pour lui en parler, j'imagine qu'il est petit, mais il sentira les bienfaits de la libération de votre parole.
Je suis d'accord avec Jean Luc, parlez en à votre médecin ou au pédiatre de votre enfant. Eux connaitront aussi des relais, des associations. Je ne sais pas ou vous habitez mais il y a peut être aussi des maisons du département, avec des travailleurs sociaux, voire une PMI si votre enfant est encore petit?
Bien à vous
Nadia

Bonjour Nadia oui je suis près mai encore la boule qui blok vous voyer se que je ve dire. Mais toutes ses parole de se forum maide sont très enrichissante et aidants merci à vous et à tous serli

Bonjour Serli,
J'ai été victime d'abus aussi, et, comme le dit si justement Jean-Luc, j'ai tout "vomit" très récemment. Allez-y, allez-y, Serli ! Vous verrez comme cela fait du bien et va vous libérer. Je vous envoie plein d'ondes positives pour franchir ce cap. Vous allez trembler, vous allez encore sentir cette boule dans la gorge, mais quand vous aurez fait le premier pas, la porte sera grande ouverte vers la liberté !
Apparemment, vous êtes dans une région où il n'y a pas beaucoup d'interlocuteurs, du moins pas facilement accessibles. Mais vous pouvez peut-être parler par téléphone ? J'étais dans le même cas que vous, je n'ai pas trouvé, dans un premier temps, à qui je pouvais parler de tout cela. La boule, le malaise, les tremblements, pas d'appétit, la détresse... Beaucoup d'entre vous vont savoir de quoi je parle. J'avais entendu parler de Pierre Vignon, qui est un homme formidable, prêtre qui s'est révolté contre sa hiérarchie pour qu'enfin la question des abus soit prise à bras le corps. Mon premier contact avec La Parole Libérée a été de leur demander les coordonnées de Pierre Vignon. On me les a transmises dans les 2h qui ont suivi. J'ai envoyé un petit sms, et Pierre Vignon m'a également répondu très très vite. Il m'a proposé un RV téléphonique. On peut peut-être faire pareil pour vous ? Si vous voulez, comme j'ai le tél de Pierre Vignon, je peux lui poser la question.

Une chose est sûre, depuis que j'ai fais ce pas, ma vie entière change, j'ai la rage mais tant de choses s'assainissent en moi ! Et ma colère se transforme en une grosse volonté d'agir et d'aider.

Courage, Serli, je suis sûre que toutes les personnes qui parlent sur ce forum vous soutiennent, c'est comme une grande communauté solidaire même si nous sommes géographiquement loin les uns des autres.
Je suis de tout coeur avec vous !

Bonjour Serli
J'ai trouvé ce lien sur le site de l'association Stop aux violences sexuelles
http://www.stopauxviolencessexuelles.com/maillage-therapeutique/
Il s'agit d'adresses de professionnels de santé sensibilisés aux violences sexuelles

Et voici le même lien pour le volet judiciaire:
http://www.stopauxviolencessexuelles.com/maillage-juridique-judiciaire/

En espérant que tu trouves ce qu'il te faut

Bjr zum et bjr Jean Luc ok merci sa fai du bien rien que sa mai je vais continuer déjà je vais regarder le site de Jean Luc merci bcp courage et force à vous tous

Je rebondis sur les paroles de zum. Entre le moment où j ai su qu il fallait, car c était viscéral, 40ans après, enfin, faire quelque chose, .car il était urgent d agir....et le moment où j ai libéré ma parole, je ne respirais plus, je ne mangeais plus, je ne m occupais plus de mes enfants, ne faisais plus à manger..n pouvais plus étendre de lessive ..cela a duré 15 jours, avec le témoignage de victimes qui me disaient combien on se sent libéré après. Ils avaient raison...un jour vous aurez la force et le déclic qui s imposera à vous et vos aurez certainement très peur mais plus besoin de réfléchir. Comme nous tous vous avez la clé en vous. Faîtes vous confiance.

Oui c'est vraiment le corps qui nous "force" à parler.
Ecoute ton corps, que te dit-il ?
Laisse tomber ton cerveau qui entretient ta peur à coup de questions du genre "qu'est-ce qu'on va penser ?" ou "et si je me trompais ?"

Que cela fait du bien de rencontrer toute cette humanité et bienveillance , qui se dégage des vos écrits . Le fait de les lire me projette en avant . J'espère qu'il en est de même pour vous tous . Ce silence que nous avons vécu est tellement destructeur.... Alors continuons de partager nos paroles, puisque nous sommes soudés maintenant